Car, si au lieu de se défendre l’organisme est trompé par un système de croyances le menant à sa propre perte, cela conduit à la mort de l’organisme au nom du respect d’un système de croyances erronées.
Le suicide est certes condamnée par les religions mais on ne saurait en faire grief à celui dont le désespoir l’y a poussé.
En revanche, lorsque l’absence d’instinct de conservation afflige l’individu au point que par passivité il devienne complice de crimes contre l’humanité, alors la question se pose sur le plan de l’éthique…
Ne pensez-vous pas qu’en la circonstance,
au-delà de son côté obscène, la position de l’autruche soit surtout le fait d’une coupable lâcheté, confirmant à quel point Edmund Burke avait raison de proclamer fin 18e siècle :« Pour que le mal triomphe il suffit que les gens de bien ne fassent rien«
Le tri s’effectuera entre ceux qui relaieront ceci et les masochistes qui s’en abstiendront,
en continuant de nourrir le crocodile dans l’espoir d’être le dernier à être dévoré, dixit un ancien guide de safari … 😉
Il ne s’agit donc plus aujourd’hui de système de croyances,
mais bien de colonne vertébrale, CQFD !
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