« Quant à l’Islam, il ne reconnaît pas la séparation entre spirituel et temporel, ces deux pouvoirs étant soumis à l’impitoyable loi de la Charia, fondement de la constitution juridique musulmane encadrant l’esclavage et présentée comme la loi divine. De sorte que si l’on juge l’arbre à ses fruits, l’archaïque cruauté de la Charia à l’origine de l’arriération sociale et technologique des pays musulmans n’apparaît guère comme la manifestation du Divin…
Aussi, de nos jours la prolifération des mosquées et le développement de la nourriture Halal (propriété du business Casher) dans une Europe ouvrant ses frontières aux clandestins musulmans ne sont-ils pas les prémices du Jihad ?
D’où le rôle du Ministère de la Vérité relayé par ses serviles mass-média traitant de racistes et de conspirationnistes les sonneurs d’alerte. Alors que ces derniers, précisément parce qu’ils observent la conspiration usant du diviser pour mieux régner contre les peuples, avertissent du risque de guerre civile. Celle-ci est voulue par la finance apatride appliquant la devise franc-maçonne Ordo ab chaos (l’ordre à partir du chaos), héritée du concept de « destruction créatrice » d’après la conception kabbaliste du Monde. Ce, afin de déclencher la guerre civile « au nom de la paix », pour justifier ensuite l’établissement de la dictature orwellienne du Nouvel Ordre Mondial… »
Conclusion du Prologue Historique d’Eveilleurs de l’Aube © Salik de Bonnault
La petite crapule racailleuse qui a tué Thomas s’appelle Chaïd Akabli. Et nos gouvernants collabos voulaient nous le cacher. Soi-disant parce que cela ferait monter Marine Le Pen, l’ennemie absolue.
Mentir comme le fait Moussa Darma-nain est totalement inutile. Nous cacher les noms des coupables ne sert à rien. Le proverbe dit que lorsque le mensonge part le matin, la vérité le rattrape le soir. Il est donc totalement contre-productif de mentir, nos gouvernants devraient le savoir.
La liste des coupables est : Chaïd Akabli, Zazane Ilyes, El Moujahid Yasir… n’en jetez plus ! El Moujahid, ça veut dire « combattant engagé dans une lutte armée». Est-ce qu’on donne ce prénom à son enfant ? Y-a-t-il un seul Français qui s’appelle « combattant » ?
Les neuf personnes arrêtées et mises en garde à vue n’ont que des prénoms et des noms arabo-musulmans. C’est dire qu’on est dans le face-à-face invoqué par Gérard Collomb.
Élisabeth Borne dit qu’évoquer « ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes ». Ben voyons.
Donc selon elle on n’a pas le droit de parler de ce drame ni de dire la vérité : la cause de ce drame est l’irresponsabilité des politiques depuis 40 ans.
« Jouer sur les peurs » sont des termes particulièrement équivoques. N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que toutes les racailles ou presque ont un couteau dans leur poche ? N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait qu’il y a au moins 120 coups de couteau par jour en France ? N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que, nous les femmes, nous risquons d’être violées par des racailles à chaque coin de rue, ou la nuit chez nous ?
N’est-il pas normal d’avoir peur quand on apprend que des cas comme Crépol, il y en a très souvent mais qu’ils sont étouffés « car il ne faut pas jouer sur les peurs » ?
Qui sait qu’à Pont-l’Évêque une jeune mariée le jour de son mariage, en avril dernier, a eu la jugulaire tranchée avec un tesson de verre par une racaille algérienne ivre et en situation irrégulière ?
La jugulaire tranchée, bel euphémisme pour dire que l’agresseur sauvage a essayé de l’égorger. Pourquoi essayer de nous le cacher ?
La mariée en lieu et place d’une nuit d’amour avec son mari a été transportée par hélicoptère à l’hôpital d’Amiens pour y être opérée en toute urgence. Quelques jours plus tard, elle ne pouvait toujours pas être entendue par la police car elle ne pouvait pas parler.
À Saint-Martin-le-Petit, un jeune de notre pays le 30 septembre avait organisé une fête. Un type venu d’ailleurs a débarqué et a proféré des menaces : « On va vous crever, on va revenir avec des flingues ! » Les jeunes n’y ont pas cru.
Mais vingt minutes après trois voitures sont arrivées, équipées d’armes semi-automatiques, d’une scie et d’une machette, et « la scène a basculé en scène d’Orange Mécanique. » L’un des envahisseurs a braqué un pistolet sur l’un des jeunes de Saint-Martin.
Encore des chances pour la France, puisque l’une des voitures était conduite par une femme voilée. Les jeunes de Saint-Martin fuirent mais furent pris en chasse par les voitures des racailleux. Ils s’en tirent, avec une peur énorme, mais dit la Borne, on n’a pas le droit d’avoir peur…
À Marcoussis en janvier dernier, un anniversaire a mal tourné, dans les mêmes conditions : refoulés, les petites frappes sont revenus en bande et ont attaqué les convives, en ont blessé quinze, les ont traînés au sol et frappés à coups de poings et de pieds :
Et il y a quelques jours, toujours à Marcoussis, une bande a voulu s’introduire dans une fête. Refoulés, les individus ont déclaré « vous allez manger vos morts » et sont revenus armés de barres de fer :
Et, dit un témoin, c’est tous les week-ends comme cela. Vous ne le savez pas ? On nous le cache. C’est exprès. Car cela pourrait donner des idées aux électeurs. Et même à ceux qui en ont assez et pourraient faire comme à Dublin où les Irlandais sont descendus dans la rue pour défendre cinq d’entre eux attaqués au couteau par un migrant naturalisé : ils ont mis le feu à un immeuble habité par des migrants, etc.
On pourrait continuer longtemps comme cela, bien que la plupart des agressions soient cachées et enterrées. Surtout pas de vagues, omerta compète, on ne doit pas savoir.
N’est-il pas normal d’avoir peur quand on voit que la liste de nos jeunes Français innocents tués par la racaille est longue comme un jour sans pain ? Laura, Mauranne, assassinées gare Saint-Charles parce qu’elles étaient jolies, Lola, même raison, Adrien assassiné à la sortie d’une discothèque, Mégane empalée par un pervers, Lorenzo resté paraplégique, Marin battu à coups de béquilles parce qu’il prenait la défense d’un couple qui osait s’embrasser (c’est haram), et handicapé à vie, Thomas… et on en oublie.
Mais parler de ces crimes serait selon Borne une atteinte à la dignité des victimes ! Alors que leur dignité a été mise à mal par la racaille même qui les a blessées ou tuées sans respect ! Comme si on pouvait dans une agression tuer ou blesser avec respect !
Au contraire, parlons-en, partout et sans relâche. Traquons les responsables à coups de paroles et jusque dans les chiottes (pour parler comme Poutine).
Le respect et la dignité ici sont utilisés comme tous les mots en « phobe » : pour faire taire les victimes et protéger les coupables islamo-racailleux. Cela suffit ! On en a assez, nous les sans-dents, d’être pris pour des imbéciles par la classe soi-disant gouvernante mais qui ne gouverne rien du tout et se prosterne devant nos envahisseurs barbares et grand-remplaçants !
Quant à l’ineffable et incopiable Sandrine Rousseau, c’est la totale. Elle accuse Zemmour et le clan patriote de souffler sur les braises et d’être racistes, juste parce qu’ils disent la vérité.
La vérité doit être dite. Elle est qu’on nous ment tous les jours. Mais dans cette bataille, il y a une bonne nouvelle : partout des gens se réveillent. Les Espagnols, les Hongrois, les Irlandais se réveillent. Les Français sont en chemin. Geert Wilders vient de remporter les élections aux Pays-Bas. Champagne.
Les Borne, les Sandrine Rousseau ont peur pour leur matricule et leur avenir politique, c’est la raison de leurs discours toxiques.
Cela commence à sentir le roussi pour les collabos. Tant mieux.
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