D’où le personnage de mon roman-vérité, le Commandant Légionnaire parachutiste Gaétan de Montfort ayant quitté l’armée après avoir servi au Rwanda au sein du 2e REP; envoyé dès Octobre 1991 pour former les forces armées rwandaises (entièrement hutus) et qui avait discrètement fait la guerre au FPR formé de Tutsis de l’exil ainsi que de Hutus de l’opposition…
Tout cela ayant abouti au génocide de près d’un million de Tutsis en 1994.
Ce personnage fictif
d’Eveilleurs de l’Aube #1 Remise en Question, accablé par le remord d’avoir obéi aux ordres iniques envoyés par Mitterrand, qui soutenait le pouvoir corrompu de Juvénal Habyarimana au Rwanda, face au retour légitime des Tutsis (les aristocrates qui ont depuis relevé le Rwanda devenu la Suisse de l’Afrique) loue le général Pâris de Bollardière, devenu pacifiste après la guerre d’Algérie. C’est lui qui à bord de son voilier le Free (accompagné de Brice Lalonde) venait protester face aux essais nucléaires menés par la France dans le Pacifique dans les années 1980. Mais le premier fut sans conteste le General Smudley Butler cité dans mon ouvrage pour son discours dont le succès lui valut d’être publié : La Guerre est un racket
« J’ai été un racketteur »…
C’est l’un des tout premier maîtres d’œuvre de l’intervention militaire en Amérique latine, le général de division de l’U.S. Marine Corps Smedley Butler, qui a le mieux exposé la logique de cette entreprise, la symbiose existant entre l’armée et l’oligarchie économique des États-Unis. Voici en quels termes, saisi par les remords, il s’exprimait en 1935 dans son autobiographie :
«J’ai passé trente-trois ans et quatre mois de ma vie en service actif en tant que membre de la force armée la plus performante de notre pays — l’U.S. Marine Corps. Je suis passé par tous les grades d’officier, depuis celui de sous-lieutenant à celui de général de division. Et, au cours de cette période, j’ai passé le plus clair de mon temps comme homme de main de haut niveau au service du grand capital, de Wall Street et des banquiers. Bref, j’ai été un racketteur à la solde du capitalisme. »
Je me dois de conclure que bien avant que Wall St tombe sous la coupe des banquiers juifs, voici ce que déclarait la mère de la dynastie Rothschild figurant en exergue du chapitre 11 de mon ouvrage :
“Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas » Gutle Schnaper Rothschild (1753-1849)
Et pour cause, ils suscitent les guerres et financent les belligérants pour que s’entretuent les Goyim !
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