Perso + MUST : La guerre des hormones

De même, l’affaire Epstein révélant que cet agent du Mossad était chargé de compromettre par des affaires de moeurs des personnes en vue n’est que la manifestation récente de cette pratique exposée comme suit dans Eveilleurs de l’Aube #1 Remise en Question :

« Dans son livre « Des Pions sur l’Echiquier » l’officier de renseignement britannique le Commandant William G. Carr décrit mieux que quiconque les coulisses de la Révolution de 1789 au moyen de nombreux témoignages historiques avec toutes les références bibliographiques. Il explique comment le libertin décadent qu’était le Marquis de Mirabeau pour payer ses dettes de jeu s’était endetté auprès des financiers juifs. Ceux-ci l’avaient utilisé pour approcher son ami le cousin de Louis XVI, le Duc Philippe d’Orléans habitant le Palais Royal, situé comme tu le sais au coeur de la capitale, afin qu’il devienne leur homme de paille à la tête du mouvement révolutionnaire. Le Commandant Carr résume très bien la situation, je te le cite “Il était convenu qu’une fois le roi forcé d’abdiquer, lui (Duc d’Orléans) deviendrait le Dirigeant Démocratique de la France. Les vrais conspirateurs de la Révolution Française avaient la prudence de ne laisser ni le Duc d’Orléans, ni Mirabeau apprendre qu’ils avaient l’intention de tuer le Roi et la Reine, ainsi que des milliers de membres de la noblesse.  Ils firent croire à Mirabeau et au Duc d’Orléans que le but de la révolution était de libérer la politique et la religion du despotisme et de la superstition. Un autre facteur qui faisait que les hommes qui étaient Le Pouvoir Secret derrière le mouvement révolutionnaire avait décidé que le Duc d’Orléans serait leur homme de paille parce qu’il était le Grand Maître de la Franc Maçonnerie française.”

Puis, Carr explique que puisque le Duc d’Orléans menait grand train, selon la stratégie habituelle il se retrouva rapidement endetté auprès des créanciers juifs qui tenaient déjà Mirabeau. Incapable de les rembourser, ceux-ci avaient discrètement placé Philippe d’Orléans sous tutelle et lui avaient imposé pour administrer le Palais Royal nul autre que Choderlos de Laclos, alors acclamé pour ses “Liaisons Dangereuses” et autres oeuvres pornographiques, écrit Carr. Ce libertin en chef aurait été descendant de Juifs d’Espagne, mais qu’importe les origines de Chauderlos de Laclos, insiste le Commandant Carr, c’est ce qu’il a fait qui est important. “Il fit du Palais Royal la plus grande et la plus notoire maison de mauvaise réputation que le monde ait jamais connue. Dans le Palais Royal, il établit toutes les sortes de divertissements lubriques, conduites licencieuses, spectacles honteux, galeries de dessins obscènes, bibliothèques pornographiques, et organisait sur scène les exhibitions publiques des formes les plus bestiales de dépravation sexuelle. Des occasions très particulières étaient offertes aux hommes et aux femmes qui le souhaitaient de se livrer à toutes les formes de débauches. Le Palais Royal devint le centre dans lequel les détails de la campagne pour la destruction systématique de la foi religieuse et de la morale publique française furent conçus et mis en oeuvre. Ceci fut effectué selon la théorie cabaliste voulant que “le meilleur révolutionnaire est un jeune dépourvu de morale”. » © Salik de Bonnault