Je vous ai déjà parlé de la future grande mosquée turque de Strasbourg, n’est-ce pas ?
L’édifice, d’architecture néo-ottomane, occupera une superficie de 5560 m² et pourra accueillir jusqu’à 2500 fidèles.
Il sera flanqué de deux gigantesques minarets, qui culmineront à 36 mètres de haut et couronnés de 8 coupoles.
Une fois achevée, la mosquée Eyyûb Sultan sera tout simplement la plus grande d’Europe.
Eh bien laissez-moi vous dire que ce projet aurait été tout simplement impossible sans la collaboration de la municipalité.
D’après le magazine Le Point, des cadres de la future mosquée se sont rendus en septembre 2019 au Qatar, pays régulièrement suspecté de financer le terrorisme, pour quémander une aide de 3 millions d’euros…
… avec un fonctionnaire spécialement mandaté par la mairie pour prêter main forte à leur demande !
La pose de la première pierre s’est effectuée en grande pompe en présence du maire socialiste, Roland Ries, du préfet du Bas-Rhin, mais aussi des ambassadeurs de Turquie et d’Arabie Saoudite en France, ou encore d’un membre de la présidence de Bosnie Herzégovine et du ministre de la Justice turc.
Comment mieux signifier qu’il s’agit là d’une enclave étrangère en terre alsacienne ?
Le soutien de la mairie ne se limite pas au protocole et aux voyages exotiques…
Le 22 mars 2021, le conseil municipal, sous l’égide du nouveau maire, Jeanne Barseghian, a voté l’octroi d’une subvention de plus de 2,5 millions d’euros pour le chantier.
Cette manne, directement prélevée de la poche du contribuable, a soulevé une vive polémique.
Le ministre de l’Intérieur, rappelons-le, a reproché à la municipalité de « financer une ingérence étrangère sur le sol français » et la ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, a rappelé que « les règles concordataires n’obligent pas le maire de Strasbourg à financer une mosquée qui promeut l’islam politique. »
Vous en apprendrez davantage sur ce scandale, et sur bien d’autres encore, en lisant “MOSQUEES : LES CASERNES DE L’ISLAM”.
A très bientôt,