En 1932, le gouvernement américain mène une étude secrète sur 399 jeunes Afro-Américains.
Il leur ment sur leur état de santé.
Il leur refuse des soins adéquats alors que les traitements existent.
Résultat : plus de 25% des jeunes décéderont.
C’est l’Expérience de Tuskegee (prononcez “teu-ski-gui”) en Alabama, USA.
Si vous doutez encore qu’un gouvernement peut chercher à nuire à la santé de la population, alors restez bien avec moi.
Car dans les prochaines lignes…
Je vous dévoile un véritable complot sanitaire qui a d’étranges parallèles avec ce qu’il s’est passé en 2020
1932, en Alabama – État américain à la population majoritairement afro-américaine et défavorisée.
Le Service de la Santé Publique Américain (PHS) et les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (la fameuse CDC derrière les mesures COVID-19) s’associent avec l’Université du Tuskegee pour mener une expérience médicale géante.[1]
Ils savent qu’une souche de la syphilis se propage parmi les jeunes hommes de Tuskegee.
En échange d’une assurance maladie, ils demandent à des volontaires de donner leur sang.
Les chercheurs de la PHS retiennent alors 399 hommes atteints de la syphilis.
Mais ça, ils ne le leur disent pas. Ils préfèrent leur donner de faux médicaments contre ce qu’ils appellent le “mauvais sang”.
Ces médicaments sont en vérité des placebos sans aucune efficacité.[2]
Les chercheurs savent pourtant qu’il existe un traitement parfait : la pénicilline. Mais ils refusent de l’administrer aux 399 patients.[3]
Ils veulent étudier comment une maladie évolue chez des gens qu’on laisse souffrir
Absolument inexcusable !
Ces jeunes hommes malades pensent que l’expérience ne va durer que 6 mois.
En vérité, elle va durer 40 ans, jusqu’en 1972.
Des documents ont fuité dans la presse de l’époque. La PHS et la CDC ont été obligées de mettre fin à l’expérience. Sinon elle allait continuer.[4]
Entre-temps, 128 patients sont morts de la syphilis, 40 des épouses ont attrapé la maladie et 19 enfants sont nés avec une syphilis congénitale.
On a dit de cette expérience qu’elle était “la plus infâme recherche biomédicale de l’histoire du pays”.[5]
Et tout cela, à l’insu de ces 399 “victimes”…
Mais aussi infâme soit l’expérience de Tuskegee, est-elle vraiment derrière nous ?
Aujourd’hui, j’ose poser la question :
En 2020, n’a-t-on pas aussi “dissimulé” des traitements efficaces contre le COVID-19 ?
Dans mon bilan des mesures sanitaires de la pandémie, je vous dévoile en page 9 comment de faux remèdes miracle contre le COVID ont été administrés à la population.
Notamment cet anxiolytique autorisé par l’ex-ministre de la santé que certains médecins ont dénoncé comme pouvant ressembler à une forme d’”euthanasie passive”.[6]
Et surtout, je vous parle en page 15 de ces traitements qui auraient pu se révéler efficaces, si les “experts” du gouvernement n’avaient pas prétendu le contraire en stoppant toute étude sérieuse sur le sujet.
L’hydroxychloroquine bien sûr, dont je vous dis une bonne fois pour toutes si elle est utile ou non.
Mais aussi d’autres médicaments dont plusieurs études démontrent l’efficacité (je vous synthétise ces études pour les rendre compréhensibles).
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