Le Grand Jeu renvoie au 19e siècle, lorsque l’empire russe et la couronne britannique s’affrontaient en guerre froide pour le contrôle de l’Asie Centrale.
C’est pourquoi le regard de l’aigle est indispensable à la compréhension fine du terrain géographique tant sur le plan historique que géographique à cause des éternels antagonismes tribaux/province/duché à l’origine des conflits qui firent gagner de la superficie à leur royaume, tandis que d’autres en perdaient, tels la Pologne, la Hongrie et la ROumanie qui récupéreront leurs territoires perdus depuis la Révolution Bolchevique de 1917 qui intégra de grosses portions de ces pays pour gonfler la province d’Ukraine, et en faire un état tampon sur son flanc ouest, la République Socialiste Soviétique d’Ukraine.
Car tels sont les ressorts de la géopolitique mondiale : la volonté de conquête à l’origine de tous les empires, et en particulier le plus vaste d’entre eux, l’Empire Mongol, d’où Marco Polo rapporta son Livres des Merveilles, relatant sa vie à la cour du petit-fils de Gengis Khan, Kubilai Khan fondateur de la dynastie chinoise Yuan.
En effet, seul le regard de l’aigle du voyageur (également facteur de survie en milieu hostile) permet de décrypter le billard à multibandes…
Tel qu’ exposé par https://eveilleursdelaube.fr/,
car l’aigle est mon animal de pouvoir,
et je suis Aigle Bleu (tonalité Electrique) dans le Calendrier Maya… 😉