Mon livre rend hommage à Sri Aurobindo, authentique militant pour l’indépendance de l’Inde bien avant Gandhi qui je veux le croire, à son insu, servira les intérêts de la couronne plutôt que ceux des Indiens.
A défaut de m’y être rendu j’ai longtemps cru en cette inspirante utopie qu’est Auroville, aussi quelle ne fut pas ma déception il y a qq années lorsqu’un ami voyageur ayant participé à la construction du Matrimandir (ici en photo) au début des 1970’s m’apprit que Sri Aurobindo avait tourné le dos au projet d’Auroville, lorsque son épouse spirituelle la Mère le lui présenta.
Mirra Alfassa qui deviendra La Mère était née juive et avait donc de bonnes raisons de se détourner de sa religion de naissance lui faisant dire que la peur est la 1ère souffrance à dépasser.
Or, si la débauche sexuelle est une constante parmi les oisifs des sociétés chrétiennes, la pédophilie est non seulement une spécialité des milieux homosexuels, mais elle est surtout très prisée des Juifs puisque largement encouragée par le Talmud.
De là à penser que Sri AUrobindo retiré dans son ashram de Pondichéry (dont Mirra Alfassa avait fortement suggéré la création) grâce à son supramental avait eu la vision de ce qui adviendrait de ce projet ô combien enthousiasmant vu d’Occident…
Il est en effet fort triste d’observer la décadence propre à ces communautés occidentales sou les palmiers, comme celle du début 20e siècle dans cette perle de l’Océan Indien qu’est la petite île de Lamu située sur l’Equateur au large du Kenya, où des Anglais aisés en échappant à la très corsettée GB victorienne sombrèrent dans la débauche puis le meurtre au sein de leur communauté rapidement éteinte.
Puisse la descente du Supramental stimuler l’avènement de la nouvelle humanité ! 🙂
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