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D’où mon culte de la Vérité ! 😉

Or, c’est bien parce qu’ « il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité » (H. Blavatsky) que celle-ci n’est accessible qu’à ceux qui passent par l’incontournable Remise en Question, titre du 1er tome de mon ouvrage Eveilleurs de l’Aube 😉.

Ce qui est d’autant plus difficile pour ceux dont les croyances religieuses/scientistes/politiques/idéologiques  fondent leur monde construit sur ces égrégores mensongers, qui pour certains étaient nécessaires à la structuration de nos sociétés pour ne pas sombrer dans l’anarchie, l’entropie à laquelle il fallait apporter un contre-poids structurant grâce à la créativité des humains porteurs de l’étincelle divine, caractérisant le Créateur en nous. 🙂

Or, les temps changent de manière radicale en ce changement d’ère largement exposé dans mon roman-vérité, car il me fallait passer par la fiction d’un scénario-prétexte pluridisciplinaire dont les dialogues entre des personnages fictifs rendent digeste cette multitude d’informations nécessaires à la compréhension de l’évolution en cours. Ce, afin de faciliter la transition d’une ère à l’autre, puisque tel est mon rôle ici-bas. 😉

Bercés par l’illusion de leurs croyances desquelles ils tirent un certain sentiment de supériorité (tout en affichant l’humilité de mise dans les milieux dits « spirituels »), ceux qui croient savoir ne peuvent passer par la porte étroite évoquée dans la parabole christique du chameau ne pouvant entrer dans le chas d’une aiguille… 😛

C’est l’occasion de souligner l’incompréhension de cette parabole dans laquelle Jésus affirme qu’il est aussi difficile pour un riche de pénétrer dans le royaume des cieux que pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille. :-[

Il s’agissait bien sûr d’une erreur de traduction depuis l’Araméen, puisque Jésus évoquait la PORTE du chas de l’aiguille du rempart de Jérusalem un jour de marché. En effet, cette porte était trop étroite (d’où son nom) pour permettre le passage d’un chameau dont le bat chargé des marchandises à vendre au marché devait d’abord être déposé pour faire passer le chameau à vide.

Cette allégorie pour comprendre que nous partirons dans l’au-delà/royaume des cieux aussi nus que nous sommes venus dans ce monde… D’où l’absurdité d’être le plus riche du cimetière ! 😛

Tous ces « bons Chrétiens » ne pouvant donc pas comprendre le sens de cette parabole, pas plus qu’ils ne pouvaient comprendre le « mystère » du Dieu en trois personnes fabriqué au concile de Nicée en 325, afin de faire coïncider le Dieu d’amour de Jésus, « Dieu le Père », avec la mauvaise traduction/interprétation du récit de la Genèse par les scribes juifs à Babylone à partir de -587.

C’est ainsi qu’en nos temps d’Apocalypse-Révélations nous comprenons que les Judéo-Crétins (dont je fus) n’ont cessé d’alimenter l’égrégore de la Synagogue de Satan, dont Jésus voulait libérer les Juifs.

Ainsi, ces malheureux Chrétiens toutes obédiences confondues et les Musulmans (via les sourates vengeresses de Médines) à leur suite ne sont que des sous-Juifs, et le pire c’est qu’ ils en sont fiers même lorsqu’ils se montrent Judéo critique… :-[

D’où l’accusation par l’Eglise d »‘hérésie » envers les Cathares qui rejetaient à juste titre cette Eglise de Satan (la vraie hérétique), car pour avoir récusé l’Ancien Testament-Torah que Jésus était venu remplacer par le Nouveau Testament (dont 3 sur les 4 Evangiles canoniques ne sont qu’une pâle survivance) les Cathares n’avaient conservé que le seul Evangile de Jean & son Apocalypse, puisqu’ils savaient ce qu’il nous était interdit de comprendre. Car nous aurions alors échappé au contrôle de l’Eglise qui nous tenait par la peur de Jéhova, le dieu cruel et vengeur des Juifs.