Michele Bachmann :
« Cette autorité qu’on leur donnerait aurait un impact sur 99,4 % des gens dans le monde…
L’OMS aurait le pouvoir décisionnel d’intervenir dans la politique du gouvernement des États-Unis et de toute nation du monde sans notre permission.
Par exemple, les confinements où vous voyez aujourd’hui 26 millions de personnes enfermées à Shanghai, en Chine… l’OMS aurait le pouvoir de pouvoir imposer cela ici aux États-Unis pour n’importe quel prétexte qu’ils veulent.
Ils n’ont pas besoin de montrer des données, ils pourraient le faire.
Ce que cela fait, en fin de compte, c’est que cela crée une plate-forme pour la gouvernance mondiale, une gouvernance mondiale par le biais de l’OMS. »