SumUp, une plateforme mondiale de paiement par carte bancaire via des terminaux physiques, utilisĂ©e par des milliers d’entreprises et d’associations, a dĂ©cidĂ© de bloquer le compte de l’ASLA.
La justification ? De prétendues « exigences strictes » imposées par des régulateurs financiers et leur propre politique interne.
Ă€ quel moment dĂ©fendre la libertĂ© d’expression devient-il un « type d’activité » incompatible avec certaines entreprises ?
Une dĂ©cision unilatĂ©rale et arbitraire , prise sans explication claire, qui constitue une Ă©nième entrave Ă la libertĂ© d’action des lanceurs d’alerte et des associations qui les soutiennent.
Comme l’ont soulignĂ© les intervenants lors de notre colloque, on ne compte plus les Ă©lus et lanceurs d’alerte de droite ayant subis une clĂ´ture de compte, de cagnottes, et maintenant de plateformes de paiement.
Le collectif NĂ©mĂ©sis, le mĂ©dia l’Incorrect, Marine Lepen, Charles Gave, Julien Rochedy, Vincent Lapierre et d’autres ont tous vĂ©cus une expĂ©rience de censure bancaire.
Nous ne resterons pas les bras croisés. Cette décision, clairement idéologique, met une fois de plus en lumière les dérives alarmantes des plateformes privées qui, sous couvert de « réglementations », pratiquent unediscrimination fondée sur des convictions politiques.
Nous lançons dès aujourd’hui un recours juridique contre l’entreprise SumUp pour faire valoir nos droits et dĂ©fendre l’accès bancaire Ă toutes les voix injustement censurĂ©es.
Les censeurs se multiplient, mais notre détermination aussi. Ensemble, nous ne céderons pas.
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